PROJETS 2024/2025
C'est reparti pour une nouvelle saison sportive :
• Concourir et remporter de nouvelles victoires aux Championnats d’Occitanie, de France et d’Europe
• Organiser une nouvelle gala de boxe sur notre ville. Ce gala permettra de promouvoir notre club, de renforcer son image et sa notoriété.
Puis de contribuer aux activités de loisirs de notre ville en proposant un évènement sportif de haut niveau
* Entrainements PRIMAIRES Mardi et jeudi 18h / 19h * Entrainements ADOS Mardi et jeudi 19h00 / 20h30
Bonne nouvelle !! 🥊 Deux de nos boxeurs représenteront la France lors d'un combat en Angleterre pour El Hor Mohamed et en Espagne pour Radoini Youssef ! On remercie Tarek Zaida coach de Boxe Academy qui a pensé à nous en nous permettant une telle expérience et qui sera présent lui aussi avec son boxeur Walid Farsi 💯🥊
Président et ENTRAINEUR
Mounir est l'entraineur de nos petits champions de l'école de boxe du BOXING Moissagais et des futurs boxeurs professionnels au sein de la BOXE Academy 82.
Vice-Président
C'est l'un des emplacement des membres de l'équipe que vous pouvez avoir pour votre entreprise. Vous pouvez remplacer leur image et ajouter le texte que vous voulez ici pour décrire vos employés.
Trésorière et secrétaire
Soutien
M. le Maire, Romain LOPEZ, nous a témoigné sa confiance et son soutien. Au nom de nos futurs champions, nous le remercions chaleureusement pour son implication.
Affiliation
Les championnats de France de pancrace ont réussi aux jeunes talents du Boxing club moissagais qui en reviennent médaillés. L’un d’eux décroche le titre de champion de France. Vous n’en avez peut-être jamais entendu parler, pourtant, le pancrace existe pourtant depuis des millénaires. Il s’agit en effet d’un sport de combat pratique en Grèce antique lors des jeux olympiques. Les règles sont simples : Les adversaires peuvent s’asséner des coups avec toutes les parties du corps autorisées pendant la station debout. Un combattant n’est plus considéré dans la station debout dès qu’une partie de son corps autre que ses deux pieds touche le sol. Le combat peut alors se poursuivre au sol uniquement à l’aide de techniques d’immobilisation, de clés et d’étranglements autorisés. Une discipline à part entière, qui se rapproche du MMA, qui autorise les coups à terre. Après s’être qualifiés lors du championnat d’Occitanie en janvier dernier, trois jeunes du Boxing club moissagais viennent de disputer les championnats de France à Paris. Adam, champion de France Fils de l’un des entraîneurs du club, Adam El Aidaoui est tombé dans la marmite des sports de combat très jeune. Il monte en effet sur le ring dès l’âge de 5 ans, même s’il préfère aujourd’hui les tatamis et le judo. À 15 ans, Adam a remporté ses deux combats, montant ainsi sur la première marche du podium de sa catégorie cadet de moins de 70 kg, devenant ainsi champion de France. Une jolie prouesse pour sa première participation. Adam se prépare désormais avec Les Ours de Grisolles pour les championnats de France de judo qui auront lieu en mai. Dans la catégorie senior de moins de 120 kg, Vaaie Teieki devient vice-champion de France. Cet ancien militaire de 24 ans qui pratiquait jusque-là la boxe anglaise, signe également sa première compétition après seulement deux années au sein du club. Enfin, dans la catégorie senior de moins de 80 kg, Marwen Rahali devient également vice-champion de France en remportant un de ses deux combats. Ancien judoka qui a intégré le club de boxe il y a deux ans également, le jeune homme de 26 ans signe là une belle performance. L.C.
En savoir plusCe concert maintes fois repoussé à cause de la crise sanitaire a pu enfin avoir lieu au Hall de Paris à Moissac ce samedi 12 mars. Le Boxing Club Moissagais, coaché par l’emblématique Mounir El Edaoui, était le grand partenaire de cette belle soirée musicale proposée aux Moissagais, qui s’inscrit loin dans notre mémoire collective de la musique anglo-saxonne. En première partie, tel un poète folk avec sa guitare en bois, c’est le Toulousain Mathieu Aumethi qui a investi la scène avec des reprises dépouillées de grands standards rock, pop et folk portées par une voix profonde et sincère. Sur le dernier titre, Mathieu s’est fendu d’un duo de toute beauté, dans la pure tradition de la culture soul américaine. Après l’entracte, changement de registre et de dimension, avec une formation parée pour la grande saga du rock’n roll et du rythm’n blues. Une section rythmique basse-batterie imparable, un clavier, une guitare bien électrique et deux choristes constituent un solide écrin musical pour la voix puissante de Gilles Jeffer. Le professeur de chant de Muret, le temps du spectacle, devient le "plombier de Sheffield", c’est-à-dire le monstre sacré et regretté du blues et du ryhtm’n blues britannique : Joe Cocker. C’est 40 ans de carrière sur deux heures de set qui sont ainsi passés au laminoir, avec un Gilles Jeffer plus "Joe" que nature, jusqu’aux tics et postures et la même voix éraillée. Le Gilles Jeffer’s Band est d’une efficacité redoutable, et n’hésite pas à sortir parfois du registre du plombier de Sheffield pour parcourir d’autres horizons musicaux. Au final on a assisté à un spectacle total, devant des gradins plutôt bien garnis. Seul petit bémol, la configuration de la salle avec un public très éloigné de la scène, guère propice pour faire monter l’ambiance.
En savoir plusCe samedi 12 mars 2022, Gilles Jeffer s’invite à la Hall de Paris de Moissac avec son groupe pour un concert en hommage au chanteur Joe Cocker. Le Tribute Joe Cocker de Gilles Jeffer rend hommage au chanteur décédé en 2014. (CC BY-SA TheSupermat / Wikimedia) “Unchain my heart”, “Up where we belong” ou encore “You are so beautiful”, les meilleures chansons de Joe Cocker vont résonner ce samedi 12 mars 2022. Dès 21h, le Tribute Joe Cocker by Gilles Jeffer s’installe à la Halle de Paris à Moissac pour la soirée. L’occasion pour le public et le groupe de rendre hommage au chanteur qui a marqué plusieurs générations. Un répertoire spécial années 70-80 Le Tribute Band de Gilles Jeffer naît en 2013 à Toulouse. Entouré de ses musiciens, le chanteur propose un spectacle entièrement tourné autour de la carrière de Joe Cocker. Cela représente tous ses succès depuis sa découverte au festival de Woodstock en 1969, jusqu’en 2014 avec son dernier album. Près de 40 ans de carrière mis en lumière par Gilles Jeffer et son groupe. Son répertoire alterne entre les chansons célèbres de Joe Cocker comme “Unchain my heart”, et les reprises de grands artistes comme Ray Charles, les Beatles, Elton John, Bob Marley… Tout un répertoire spécial années 70 et 80. “Nous continuerons de mettre tout notre cœur, dans cette extraordinaire aventure sans frontières, ou nous sommes avec le public en totale immersion. Le mad dog a encore de beaux jours devant lui”, explique Gilles Jeffer sur son site internet. En première partie de la soirée, le groupe accueille Mathieu Aumethi guitariste et chanteur. Le tarif plein s’élève à 22 euros, 20 euros pour le tarif réduit. Plus d’informations et réservations au 06 10 09 26 11.
En savoir plusUn concert hommage à Joe Cocker Gilles Jeffer, véritable sosie vocal de Joe Cocker, rendra hommage à l'artiste britannique lors d'un magnifique concert vendredi 12 mars à 20h30 au hall de Paris, à Moissac. Un événement en partenariat avec le Boxing club moissagais auquel une partie des profits seront reversés. Prof de chant à la tête d'une école de musique à Muret, en Haute-Garonne, rien ne prédestinait pourtant Gilles Jeffer à devenir le tribute man par excellence qu'il est aujourd'hui. C'est lorsqu'on lui donne le défi d'interpréter une chanson de Joe Cocker, géant du blues rock britannique décédé en 2014, qu'il découvre son don: il a la même voix que l'artiste. Réservations: en ligne sur ticketmaster, en boutique chez Music en zone ou encore chez André Calvet. Loubna Chlaikhy
En savoir plusEn collaboration avec Mounir El Adaoui, président du Boxing Moissagais, après 3 ans d’attente et de nombreux reports, nous avons le plaisir de vous annoncer le grand spectacle de Gilles Jeffer qui avec ses 6 musiciens et choristes rendra un brillant et fidèle hommage à Joe Cocker, au Hall de Paris le samedi 12 mars à 20h30. Les nostalgiques de 35 à 65 ans n’ont pas oubliés le maître de Woodstock, pour ne pas rompre la magie de ce grand génie, Gilles Jeffer nous fera revivre les meilleurs moments de ce personnage mythique. Pendant près de 2 heures il reprendra tout un répertoire de ce brillant artiste qu’était Joe Cocker. Crée en 2013 à Toulouse, le Tribute Band de Gilles Jeffer et ses musiciens présentent un spectacle unique sur la carrière de Joe Cocker, dans lequel s’enchainent les plus grands succès de l’artiste depuis sa découverte au festival de Woodstock en 1969 jusqu’à son dernier album en 2014. Des grandes chansons empruntées aux Beatles, Bob Marley ou encore Elton John aux célèbres bandes originales des films comme « 9 Semaines et Demie » ou encore les tubes planétaires comme « Unchain my Heart » sont portés par la voix rocailleuse et la présence scénique unique de Gilles Jeffer. Ce concert, travaillé dans le respect de l’original et affiné au fil des expériences, saura ramener en chacun de vous la fièvre du rock-blues des années 70, et vous laissera repartir des refrains plein la tête. « Notre sport suscite un vif intérêt avoue le Président, afin de mieux nous faire connaître auprès de nos concitoyens, en collaboration avec Gilles Jeffer nous organisons ce spectacle et une présentation de notre sport ». En 1er partie Mathieu Aumetti. Les billets sont en vente sur ticketnet, ticketmaster (Leclerc,Auchan, Cultura) et physiquement à Moissac chez Calvet Music en Zone Magasin de musique 17 Bd Pierre Delbrel · 05 63 04 96 25 Tarif plein 22€, réduit 20€, renseignements 06 10 09 26 11 MFC Publié dans Tarn et Garonne, Pays Moissagais, Terres de confluences, Moissac Thématiques : Villes / Villages
En savoir plusGilles Jeffer, véritable sosie vocal de Joe Cocker, rendra hommage à l'artiste britannique lors d'un magnifique concert vendredi 12 mars à 20h30 au hall de Paris, à Moissac. Un rendez-vous à ne pas rater. On ne présente plus Gilles Jeffer, qui incarne à la perfection Joe Cocker lors de ses tribute, comprenez concerts-hommages. Pour la première fois, il sera en concert exceptionnel au hall de Paris à Moissac, le 12 mars à 20h30. Un événement en partenariat avec le Boxing club moissagais auquel une partie des profits seront reversés. "C'est un projet qui remonte à deux ans mais qui avait été repoussé à cause du covid. On voulait aider le Boxing club moissagais qui est porté bénévolement par Mounir El Edaoui, qui est par ailleurs pompiers bénévole et qui fait beaucoup pour les jeunes de la ville. Pour le club, il s'agit d'une aide précieuse qui lui permettra de poursuivre ses activités et d'en développer de nouvelles si le public est au rendez-vous. À vos agendas donc! Gilles Jeffer, le jumeau vocal de Joe Cocker Né au cœur de l’histoire du rock dans les années soixante, Gilles Jeffer a grandi au son des plus grands artistes de l’époque comme Franck Zappa, Genesis, AC/DC des débuts de Bon Scott, Nancy Holloway et bien d’autres. Chacun des concerts mythiques ayant marqué sa vie a contribué à faire grandir en lui plus qu’une envie, un besoin : celui de la scène. Prof de chant à la tête d'une école de musique à Muret, en Haute-Garonne, rien ne prédestinait pourtant Gilles Jeffer à devenir le tribute man par excellence qu'il est aujourd'hui. C'est lorsqu'on lui donne le défi d'interpréter une chanson de Joe Cocker, géant du blues rock britannique décédé en 2014, qu'il découvre son don: il a la même voix que l'artiste. Il faudra attendre vingt ans, au cours de l’année 2009, avant que Gilles présente sur scène ses reprises des chansons de l’artiste, en solo et sur bandes musicales. Au vu des retours très positifs, deux choristes viennent le rejoindre en 2011. Elles sont rapidement suivies par un élément qui devenait indispensable aux yeux de Gilles et qui va changer la trajectoire de la formation : des musiciens. Aujourd'hui ils sont sept sur scène. Programmés au festival albigeois Pause Guitare, ils rencontrent un franc succès et leur renommée n'est plus à faire. "Quand on ferme les yeux on a l'impression que c'est Joe Cocker, et le spectacle est magnifique", confient ceux qui l'ont vu sur scène. Réservations: en ligne sur ticketmaster, en boutique chez Music en zone ou encore chez André Calvet. Loubna Chlaikhy
En savoir plusLe Boxing-club moissagais que préside depuis sa création en 2013, Mounir El Aïdaoui, aidé dans sa gestion du club par Sierra Lopez et Nicolas De Souza, veut, bien sûr, former des adeptes de son sport favori mais il souhaite aussi qu’ils soient de vrais citoyens bien intégrés dans la vie de tous les jours. Enzo Vermaut, membre du club depuis qu’il habite Moissac, est le type même de ce sportif que souhaite Mounir. Ce jeune qui a 16 ans, a aimé la boxe à Roubaix où il a vu son père boxer. C’est là qu’il a été initié et y a pris goût. En 2016, ses parents souhaitent trouver un coin de France plus ensoleillé et viennent s’installer à Moissac. Coup de chance pour Enzo, la ville a un club de boxe ! Renseignements pris, constations faites, le jeune garçon ne tarde pas à s’y inscrire. Le président, les dirigeants sont de bons éducateurs qui plaisent à Enzo et qui cherchent à faire progresser leurs licenciés, âgés de 7 ans à… âge illimité (sourires), garçons et filles, et ayant également à l’esprit qu’ils formaient des jeunes qui seraient de vrais citoyens dans une société où le respect de l’autre est une règle essentielle. "Cet esprit, dit Enzo, convenait parfaitement à ce que je voulais. Aussi j’ai adhéré spontanément". La boxe est évidemment primordiale pour lui. Ce sport fait travailler tout le corps puisque poings, bras, jambes, pieds interviennent. De plus, il développe le courage, la ténacité, la force, la rapidité pour la réaction des bras, des jambes, le sens de l’observation pour anticiper ce que va faire l’adversaire, mais toujours dans un respect strict et sportif, le réflexe, la spontanéité. "Tout cela me convient, ajoute Enzo". assidu aux entraînements sans oublier sa scolarité Il se trouve aussi motivé par d’excellents résultats qu’il a obtenus. N’est-il pas déjà champion de France dans deux disciplines de sa catégorie (cadet), en Kick-Boxing et K1. Mais cela ne lui suffit pas et il veut encore aller plus loin. Aussi travaille-t-il, lors des entraînements en extérieur qu’il fréquente assidûment. Raison de plus d’être motivé, le test passé dernièrement à Paris pour être intégré à l’équipe de France de sa catégorie, quelle fierté s’il y est retenu. Il n’oublie cependant pas son parcours scolaire. Il est élève à la MFR (Maison familiale rurale) où il prépare un bac pro-vente, en alternance. "Je prépare ce bac-pro la boulangerie "La, Do, Ré, Mie" comme entreprise, employé à la caisse. Ainsi j’ai des contacts avec la clientèle et cela me plaît bien. J’apprends le travail que je souhaite faire et réussir ma vie professionnelle". Bon vent Enzo ! Si les compétitions et les entraînements ont été supprimés pour les seniors, les moins de 18 ans du club de boxe moissagais ont eu la satisfaction de pouvoir reprendre en extérieur les entraînements. Le président du club, Mounir n’a évidemment pas laissé passer l’occasion qui permet à tous ces jeunes de participer. "Je ne suis pas déçu de la formule, dit-il. J’ai eu la bonne surprise de voir que les jeunes y répondaient très bien. Je n’ai eu à déplorer que de rares abandons. Les jeunes ont parfaitement répondu. Nous avons conservé l’esprit club et nos effectifs. C’est une bonne récompense dans la crise que nous traversons et qui nous pousse à continuer. Certes, cet entraînement en extérieur demande des consignes sanitaires très strictes. Tous s’y plient". Aussi Mounir, comme tous ses boxeurs, attend une reprise qui, il l’espère, arrivera très bientôt pour le plus grand plaisir de tous. Si vous souhaitez en savoir plus sur ce club : le boxing club moissagais, c’est au 20 chemin de Calas à Moissac, Tél. 06 73 21 39 34 ; email : boxing-moissagais@hotmail.fr Entraînements : oui, mais en extérieur Correspondant
En savoir plusC’est une période que le Boxing Moissagais voudra sans doute oublier très rapidement mais qui marquera la saison 2020. Il souhaite reprendre très rapidement les activités dont les membres du club sont actuellement privés. Le président du club moissagais, Mounir El Aidaoui a accepté de nous confier comment cet arrêt forcé avait été ressenti par les licenciés et dirigeants du club. Comment le club et les licenciés ont-ils vécu le confinement ? Cet arrêt de l’activité a été brutal comme pour tous les clubs. Personne et donc aucun licencié n’a pu réellement se préparer à une telle décision. Mais tous ont cependant bien compris la gravité de sa situation et ils ont parfaitement accepté d’assurer la sécurité sanitaire de tous. Quelles sont les conséquences financières et sportives d’un tel arrêt pour le club ? Certains de nos boxeurs étaient engagés et qualifiés pour des compétitions nationales, notamment les Championnats de France. Il y en avait quatre dans ce cas-là. Ils sont donc partis à Paris accompagnés de deux dirigeants. Juste avant le début des épreuves, la décision a été prise de tout annuler. Le déplacement à Paris avait été fait et devenu inutile, avec un "bouillon" de 800 € pour le club. De nombreux autres clubs français étaient dans ce même cas et je pense que cela aurait pu être évité. Les organisateurs ont tout fait pour que boxeurs et accompagnateurs supportent au mieux cette annulation qui, était à faire pour la sécurité sanitaire, pour ces épreuves et toutes les autres. Quand et comment envisagez-vous la reprise ? Il nous est difficile d’envisager une reprise tant que la crise sanitaire est là. Nous n’avons aucune directive. La boxe étant un sport de contact, nous respecterons scrupuleusement les consignes données par la Fédération. Certes, nous avons hâte de retrouver nos boxeurs mais nous voulons le faire dans une totale sécurité en ne prenant aucun risque. Quels sont vos projets pour 2020 et surtout 2021 ? Les échéances pour 2020 sont reportées. Nous reprendrons l’entraînement et la préparation des boxeurs pour les épreuves régionales et nationales lorsque le "feu vert" sera donné, en espérant que tout cela porte ses fruits en 2021. Mais nous ne négligerons jamais la sécurité sanitaire de nos boxeurs et de nos dirigeants et nous serons très stricts pour l’application de toutes les consignes qui pourront être données par la Fédération. René Capel, correspondant local
En savoir plusNous étions prévenus, ils ne comptaient pas s’arrêter là. Forts de l’expérience acquise l’année dernière, les licenciés du Boxing moissagais continuent leur progression avec de nouveaux défis relevés. Cinq boxeurs sont qualifiés pour les championnats de France 2020 dans différentes disciplines : Nicolas De Souza, Enzo Vermaut, Walid Farsi, Amine et Zouhair Ameyah. À noter également une belle participation d’Ilyes Segueni et de Zouhair Ameyah en kick light. Le club, "n’ayant pas les moyens financiers d’assumer tous les déplacements régionaux", tient à remercier les parents qui se mobilisent et permettent aux enfants de participer à ces manifestations. Le Boxing Moissagais est en plein essor et les demandes d’inscriptions sont nombreuses. "Actuellement il n’est pas possible d’accueillir plus d’enfants, le club est dans l’attente d’un créneau supplémentaire ou d’un local qui permettrait d’améliorer la qualité d’accueil et d’entraînement", indique un responsable. En attendant le travail continue et la préparation des boxeurs se poursuit dans la rigueur et la bonne humeur. La Dépêche du midi
En savoir plus"Quatorzième combat, et treizième victoire". En dominant l’Espagnol Francisco Fernandez aux points, lors du gala du 1er décembre à Agde (le Kick’s day), Nicolas de Souza s’est encore rapproché de son rêve d’une carrière professionnelle. "J’espère disputer mon premier combat pro en fin d’année, peut-être dès septembre", lance le licencié du Boxing moissagais, qui penche pour le K1 plutôt que la boxe thaï (deux variantes de combat "pieds-poings"), discipline de son dernier combat. Il compte désormais enchaîner les oppositions afin d’emmagasiner un maximum d’expérience avant le grand saut. "Si j’ai 20 ou 25 combats semi-professionnels, ce sera bien", estime le Gardois d’origine, automaticien à la centrale nucléaire de Golfech depuis 7 ans, aujourd’hui installé à Saint-Nicolas-de-la-Grave. Mounir El Adaoui, qui entraîne Nicolas depuis qu’il a délaissé le karaté, il y a seulement cinq ans, a toute confiance en les capacités de son protégé. "Il a la puissance, l’agilité, la souplesse, le sérieux… Pour moi, il n’a pas de limite. Il impressionne le public et l’adversaire, des professionnels ont galéré contre lui…" Mais le circuit "pro" est fait de bien d’autres difficultés. "C’est un monde qui peut être dur", prévient l’entraîneur, qui connaît le sujet pour avoir disputé "72 combats pros" en boxe thai. "Il faut trouver son chemin, ce qui suppose d’être très bien entouré."Pour la préparation physique, le tandem continuera de faire confiance à Tareck Zaia. Pour ce qui est du rôle de manager, Mounir enfilera cette casquette. "Ce sera à moi de lui trouver des combats de son niveau, et des sponsors pour se lancer." Si le succès est au rendez-vous, la carrière s’autofinancera. Adieu les cachets de "150 à 300 euros en semi-pro" : les gains sont multipliés par dix, le transport et l’hébergement sont assurés, etc. Pour être de ce cercle, le palmarès n’est pas forcément le seul critère. "Il faut donner envie aux gens de t’appeler. Si tu as une belle boxe, si tu impressionnes, si tu as le sens du spectacle en plus d’être guerrier, tu mets les chances de ton côté", explique Nicolas de Souza. La faute à une petite blessure, le champion de France 2019 (semi-professionnel, classe A) ne disputera pas son 15e combat ce week-end, comme il l’espérait. Il sera de retour sur le ring en début d’année, et "comme toujours", il n’envisage pas une défaite. Gilles Caprais
En savoir plusC'était un projet de longue date qui ne verra finalement pas le jour. L'organisation d'un grand gala de boxe au Cosec de Moissac a été annulée faute de disponibilité chez les boxeurs. Le président du Boxing Moissagais, Mounir El Aidaoui, porteur du projet revient sur cet avortement et en profite pour faire le point sur la saison du club. Pourquoi avez-vous renoncé à l'organisation du gala ? Notre gala prévoyait d'opposer la ligue de boxe d'Occitanie à la ligue de la région Rhône-Alpes et la fédération devait s'occuper du plateau de boxeurs qui devaient participer au gala. Malheureusement, la plupart des champions d'Occitanie étaient convoqués en équipe nationale pour participer aux sélections annuelles. Ces sélections sont tombées en même temps que le gala. C'est dommage car je souhaitais, au départ que notre compétition se tienne en mars. Au total, la ligue avait prévu six combats mais nous en voulions au moins 10 pour que le gala attire du monde. Ils m'ont dit de reporter la date mais c'était trop juste. Vous espérez pouvoir l'organiser l'année prochaine ? Oui c'est une possibilité mais il faut que je sois sûr de pouvoir aller au bout. Je ne peux pas me permettre de refaire comme cette année. Mais cette fois nous nous y prendrons bien à l'avance et nous nous occuperons de faire venir des boxeurs nous-même. Nous avons pensé à un gala international qui opposerait la France à l'Espagne notamment. Mais avant, nous devrons trouver des sponsors. Êtes-vous déçus ? Oui, très déçu. Notamment parce que nous avons embêté beaucoup de monde pour pouvoir organiser cette compétition, sur le plan matériel par exemple. Nous avons dérangé la mairie, un médecin, notre sponsor «L'Univers de l'emballage»... Si nous organisons un gala l'année prochaine, nous prendrons tout en charge de A à Z. Plus généralement, comment se porte le Boxing Moissagais après cette saison ? C'était une très bonne saison, nous avons été doubles champions de France en cadet, un champion de France en benjamin, il y a Nicolas de Sousa, champion de France en kickboxing, nous avons aussi trois coupes d'Occitanie et quatre ou cinq jeunes qui ont été champions d'Occitanie. Grâce à vos résultats, vous rivaliser avec le club de Montauban ? Je crois que nous avons de meilleurs résultats alors que nous avons moins de moyens. Le club ne demande pas une grande cotisation aux adhérents et nous avons des installations basiques mais nous arrivons à avoir de bons résultats. Combien y a-t-il de licenciés au club ? Nous en avons 70 mais nous n'avons plus assez d'espace pour accueillir plus de monde et pas assez de créneaux d'entraînement non plus. Pour l'instant on s'entraîne le mardi et le jeudi mais la plupart des gamins sont libres le mercredi donc nous aimerions avoir un créneau de plus. Propos recueillis par Arthur Tirat
En savoir plusLa cité uvale écrase les rings de l'Hexagone. Licencié du club de boxe local, le Boxing Moissagais, Nicolas de Souza vient de remporter la ceinture lors des derniers championnats de France de kickboxing en classe A (semi-professionnel). Le kickboxing, c'est ce sport de combat dans lequel les athlètes peuvent utiliser les pieds et les poings pour frapper leurs adversaires. Une discipline proche de la boxe française à la différence que les boxeurs s'affrontent pieds nus et pas en chaussures. Et dans cette discipline, Nicolas de Souza excelle. Quelques jours après le combat, le sportif de 25 ans qui vit à Saint-Nicolas-de-la-Grave porte encore les stigmates de son combat. Balafre de plusieurs centimètres sur la joue droite et arcade gonflée, le boxeur n'a pas volé sa victoire. Des débuts tardifs Pourtant, Nicolas de Souza a dû s'employer pour atteindre en si peu de temps les sommets de la discipline, lui qui s'est mis au kickboxing il y a quatre ans seulement. «À la base je faisais du karaté depuis l'âge de 16 ans. Mais j'ai eu envie de changer de sport», explique-t-il. Et pour atteindre le haut niveau, lui et son entraîneur Mounir El Aidaoui ont mis les bouchées doubles. «On a énormément travaillé pour que je rattrape mon retard et que je passe en classe A, qui est le plus haut niveau avant le monde professionnel, se rappelle Nicolas. En être là en seulement quatre ans c'est pas mal.» Aujourd'hui, le jeune homme qui travaille comme automaticien à la centrale nucléaire de Golfech passe la plupart de son temps libre sur les routes. Le jeune effectue pas moins de cinq entraînements par semaine grâce à des horaires de travail aménagés, c'est le prix à payer pour dominer sa discipline. «Je m'entraîne deux fois à Moissac, une fois au club de Montauban avec lequel on s'est affilié et je vais aussi boxer une fois à Toulouse». Enfin, son entraîneur Mounir El Adaoui, par ailleurs pompier volontaire lui prépare une séance personnalisée. Lui aussi a droit à un aménagement de son emploi du temps par la caserne pour s'occuper de son poulain. No pain, no gain : on n'a rien sans rien. Des vues sur le monde pro ? Après cette victoire dans ces championnats de France semi-pro au Creusot, Nicolas lorgne sur le monde professionnel. «Avec cette ceinture j'ai la possibilité de prendre une licence professionnelle, mais le club de Moissac n'a pas assez de moyens pour passer à l'échelon supérieur.» En attendant, Nicolas enfile ses gants d'éducateur pour entraîner les jeunes boxeurs lorsque Mounir El Aidaoui ne peut tenir son rôle. «Lorsque j'ai ramené la ceinture, ils avaient des étoiles dans les yeux et ça les motive, sourit le boxeur. J'en ai vu certains qui s'arrachaient pendant l'entraînement, ils ont tous envie de gagner.» Sa prochaine victoire, Nicolas de Souza espère la remporter au début du mois d'avril, lors du championnat de France de K1. Une autre discipline de combat dans laquelle les coups de genoux sont autorisés. Mais le clou de sa saison sera sans aucun doute le 25 mai prochain lors d'un gala interrégional organisé chez lui, à Moissac (lire ci-dessus). Le champion n'aura qu'une seule envie : briller dans la salle où tout a commencé. Un grand gala à Moissac À vos agendas. Le samedi 25 mai prochain, Moissac deviendra la place forte de la boxe dans la région. Sous l'impulsion de Mounir El Aidaoui et du Boxing Moissagais, la ville va accueillir une compétition interrégionale opposant les boxeurs de la ligue d'Occitanie à ceux de la ligue Rhône-Alpes. Entre 10 et 12 combats auront lieu le samedi soir au complexe sportif Armand Rigal (Cosec). Et ce n'est pas tout, les plus jeunes d'entre eux auront aussi droit à leur moment de gloire : samedi matin se déroulera la coupe d'Occitanie de kickboxing et le dimanche, ce sera la boxe thaï. Un gros travail de l'ombre est en cours pour faire de ce week-end un événement inoubliable au sein de la cité uvale. Arthur Tirat
En savoir plusLe travail et l'assiduité ont payés pour les jeunes boxeurs du Boxing Moissagais qui totalise 6 titres de Champions d' Occitanie en ce début d'année : Nicolas Desouza Champion d' Occitanie en Kick, K1 et en Boxe Thaï plein contact dans la catégorie Senior -86 kg Classe A, Enzo Vermaut Champion d'Occitanie en Kick light, K1 et Vice- Champion d'Occitanie en Boxe Thaï dans la catégorie Cadet -69 kg, Justine Kasprzak Championne d'Occitanie en Kick light, en K1 et en boxe Thaï dans la catégorie Minime -64 kg, Yousef Radoini Champion d'Occitanie en Kick light, K1 et Boxe Thaï dans la catégorie Benjamin -47kg, Younes Radoini Champion d'Occitanie en Kick light dans la catégorie Benjamin -42 kg, Ilyes Segueni Champion d'Occitanie en Kick light et K1 dans la catégorie Poussin -37kg. Ces boxeurs sont tous qualifiés pour les Championnats de France qui se dérouleront à Paris. A noter une belle participation et un titre de Vice-Championne d'Occitanie pour Fatia El-Fazazi en Kick light dans la catégorie Minime -62kg et bravo aux boxeurs Wassim Hadouti, Yanis Haryouli et Sofiane Haryouli pour leurs beaux combats. Les jeunes boxeurs se préparent désormais pour les championnats de France et poursuivent leurs apprentissages avec leurs entraîneurs Munir El Aidaoui et Nicolas Desouza dans la rigueur et la bonne humeur bien connue du club. LaDepeche.fr
En savoir plusLe club de kickboxing de Moissac est de nouveau sorti victorieux le week-end dernier. Le 10 novembre a eu lieu à Argelès-sur-Mer le championnat d'Occitanie dans cette discipline, et plus particulièrement en kick light. Le club de Moissac a répondu présent et a envoyé 6 jeunes boxeurs pour participer à ce championnat, encouragés par leurs entraîneurs. Au cours de la compétition, trois (Younes Radoini, Youssef Radoini, Ilys Segueni) ont obtenu la médaille d'or et se sont qualifiés pour les prochains championnats de France, qui devraient se dérouler en région parisienne. Une boxeuse (Fatiha Fazazi) a gagné la médaille d'argent, un autre (Soufiane Hariouli) est arrivé jusqu'aux quarts de finale.
En savoir plusSur le ring, il est à la fois un coach, un confident et un père. Sa fierté est plus que palpable : elle brille jusque dans les larmes qui perlent au coin de l'œil. Mounir El Aidaoui est un entraîneur de boxe heureux. Depuis quelques semaines, ses protégés du Boxing moissagais enchaînent les performances et les titres. Après le Graal mondial remporté par Mohamed Dahbi lors des championnats professionnels de -70 kg, en juin dernier, et les titres européens de Nicolas De Souza et Benhissa Zaïda, la relève est assurée avec Chorfi Norman, en catégorie minime. Ce jeune de 14 ans a en effet réussi à se qualifier le mois dernier, à Argeles-sur-Mer, pour les finales du championnat de France de kick-boxing «light», c'est-à-dire sans k.-o. Il prendra donc la direction de Paris en février 2018 pour défendre les couleurs locales. Mais d'ici là, il tentera de remporter les championnats d'Occitanie, en k-1 light, qui auront lieu les 16 et 17 décembre prochains. Pour sa part, Benhissa Zaïda n'en finit pas de grandir. Et ce n'est pas qu'une expression. Ce jeune homme de 16 ans est officiellement qualifié pour les championnats de France plein contact en kick boxing et low kick. Finaliste pour les championnats d'Occitanie, il pourrait être sacré en k-1 les 16 et 17 décembre prochains. S'il y parvient, il accédera aussi aux championnats de France dans cette catégorie. Enfin, il faut saluer les premiers beaux résultats des frères Radouani, seulement 10 ans. Les benjamins Youssef et Younes reviennent d'Argelès-sur-Mer avec deux belles deuxièmes places qu'ils ne doivent qu'à leur travail, leur assiduité à l'entraînement et un homme qui veille sur eux comme l'huile sur le feu. «Ce sont mes enfants : je gueule, je les encourage, je les applaudis… C'est beaucoup de sacrifices pour moi mais eux aussi donnent énormément. Et vu qu'ils le méritent, je leur donne encore plus !», glisse Mounir El Aidaoui. Géraldine Jammet
En savoir plusCela fait maintenant quatre ans que le Boxing Moissagais (structure associative qui œuvre à l'apprentissage et au perfectionnement de la pratique de la boxe) a été fondé, et la progression a été fulgurante. D'une petite dizaine, le club compte désormais près de 60 adhérents. «On s'est fait un nom en Midi-Pyrénées», a confié, avec beaucoup de fierté, Mounir El Aidaoui, président, membre fondateur et coach au Boxing Moissagais. Après des succès en coupe de France, en championnat de France, et sur les rings européens, notamment à l'Euro WTFF de Kick boxing à Bâle (Suisse) les 17 et 18 février, c'est aujourd'hui le titre mondial qu'a atteint le boxing moissagais. Le 27 mai, le jeune Mohamed Dahbi a remporté le championnat du monde professionnel dans la catégorie -70 kg. «On est très fiers. C'est une très belle victoire ! Il y a vraiment du potentiel dans notre club, et on a une bonne relève qui arrive», a ajouté Mounir El Adaoui. Au-delà des brillants résultats sur les rings, le club se tourne également vers l'avenir, avec le désir d'investir une salle un peu plus grande. Pauline Brassart.
En savoir plusVoici maintenant quatre années que le Boxing Moissagais (structure associative qui œuvre à l'apprentissage et au perfectionnement de la pratique de la boxe) a été fondé, et la progression a été fulgurante. "Au départ, l'association a été créée en direction des jeunes des quartiers, avec cette volonté d'éduquer par le sport» assure Mounir El Aidaoui, président, membre fondateur et coach au Boxing Moissagais. Mais très vite, le club a décidé de s'ouvrir : «Nos adhérents aujourd'hui viennent de tous horizons, notamment des militaires, des policiers municipaux, et d'anciens rugbymen», ajoute Mounir, qui peut être fier de sa cinquantaine de licenciés. Deux titres de champion d'Europe D'autant que certains se sont particulièrement illustrés ces dernières semaines sur les rings européens. Ainsi, à l'Euro WTFF de kick boxing (forme de boxe où l'on utilise les poings et les pieds) qui s'est déroulé à Bâle en Suisse les 17 et 18 février, regroupant la fine fleur européenne des kick boxeurs amateurs et semi-professionnel, Benaissa Zaida, du haut de ses seize ans revient avec le titre de champion d'Europe de sa catégorie, ainsi que Nicolas de Souza, 23 ans, dans la catégorie seniors. «Je ne pratique le kick boxing que depuis quelques années. J'ai la chance de bénéficier, outre les structures du club, d'un employeur conciliant, EDF, qui me permet de pouvoir m'entraîner et de progresser», confie Nicolas, qui va le 28 mai, toujours à Bâle, s'attaquer au titre mondial. Benaissa, quant à lui, aura découvert cette pratique grâce à son père, féru de karaté et de boxe. Il convient également de citer Benjamin Iorio (28 ans), qui a atteint à Bâle les demi-finales et qui devrait se présenter aux championnats du monde avec ses camarades qui auront lieu à Birmingham en Angleterre du 20 au 22 octobre. On se doit de féliciter ces champions et ce club exemplaire, ainsi que son coach-président qui a su les détecter. Pour l'heure, au delà des résultats sur les rings, il convient de penser également à l'avenir, avec le projet d'investir une salle un peu plus grande, le local partagé avec le Karaté Club au 20 chemin de Calas se révélant aujourd'hui un peu étroit, en superficie et créneaux horaires. La Dépêche du Midi
En savoir plusAu boxing-club, Mounir El Aidaoui, le président se réjouit des résultats de l'année écoulée : «pour un club de 3 ans, nous avons déjà 3 participations au championnat de France, dont un vice-champion de France (Nicolas de Suza) qui est donc sélectionné par la ligue régionale et il est invité à un gala à Dubaï. En outre, nous avons aussi Mohamed Dhabi, qui a décroché la coupe de France». Malgré ces résultats flatteurs, le boxing-club moissagais garde un effectif modeste (une grosse quarantaine) en raison d'un manque de créneaux horaires dans un dojo qui arrive à saturation. «Si on obtient des horaires le samedi, on constituera une équipe de filles, on a déjà des inscrites». Renseignements 06 73 21 39 34. La Dépêche du Midi
En savoir plusLe Boxing-club moissagais grandit C'est très récemment, en 2013, que Mounir El Adaoui, adepte du Kick-Boxing, a créé le Boxing-club moissagais. «Je pratiquais ce sport et je souhaitais le faire connaître et pratiquer par des jeunes moissagais, d'où mon idée de créer ce club». Ce n'était pas chose facile, car il fallait trouver une salle. «Grâce à la compréhension du karaté-club, celui-ci a consenti à nous accueillir dans sa salle, 20, chemin de Calas, précise le vice-président du club, Laurent Tamietti, et nous disposons de 2 plages pour les entraînements, le mardi et le jeudi, de 19 heures à 21 heures.» Il s'agit d'un sport qui s'apparente à la boxe anglaise, avec pieds et poings. Au départ, c'est un sport de contact «on porte le coup mais on ne le force pas» et, par la suite, il devient sport de combat. D'ailleurs les catégories sont là pour bien délimiter les différentes phases. Au départ, c'est le Light Contact qui se pratique sur tatami. On passe ensuite «en plein contact», avec des catégories A et B et la catégorie, «Professionnels», ces dernières se pratiquant sur un ring. Les catégories sont aussi délimitées par les poids. Le club comporte actuellement 15 licenciés jeunes, 10 adultes et 4 compétiteurs, 1 en catégorie professionnel, 1 en «light contact» et 2 «en plein contact». Les compétitions possèdent l'échelon départemental, régional et national. Malgré son jeune âge le club a déjà glané 1 titre de vice-champion de France, 2 vainqueurs de Coupe de France et 1 champion de ligue. Philippe Cahue
En savoir plusUne année après sa création, le Boxing club moissagais récolte déjà ses premiers titres. C'est le jeune Saïd Laraj, 21 ans qui vient de décrocher le titre régional en K1 (kick-boxing) lors d'un meeting organisé à Revel. C'est dans la catégorie des moins de 63,5 kg que le Moissagais s'est illustré faisant le bonheur de son entraîneur-président Mounir El Aidaoui : «La progression de ce boxeur est constante. Il ne loupe aucun entraînement et s'investit à fond dans ce sport qu'il a découvert en 2013. C'est un garçon adorable, bien dans sa tête qui a obtenu son Bac Pro en génie climatique. Il est redoutable sur un ring : son explosivité et son œil sont ses deux principales armes.» Grâce à cette victoire, le Moissagais a décroché sa place pour le meeting inter-régional qui aura lieu à Revel fin février, étape ultime avant les championnats de France. De Souza, vice-champion Même s'il a échoué en finale des moins de 86 kg, le parcours de Nicolas De Souza est remarquable. Âgé de 21 ans et licencié au Boxing club moissagais depuis le mois de septembre, ce solide gaillard a fait preuve en finale de solidité physique mais surtout mentale face à un adversaire plus expérimenté que lui. «Âgé de 37 ans, son adversaire a fait parler l'expérience pour décrocher le titre. Mais il est important de signaler qu'il n'a jamais pu mettre KO notre athlète sur les rounds. Ce n'est qu'aux points que la victoire a été attribuée, précise Fily Diallo, trésorier du club et premier supporter de Nicolas. C'est un sportif exemplaire qui vient s'entraîner dès qu'il peut en sortant de la centrale nucléaire de Golfech où il travaille. Il prouve à tous et surtout aux plus jeunes, que le travail associé à une grande motivation payent.» Avec 40 licenciés dont une quinzaine inscrite à l'école de boxe, ce club trouve parfaitement ses marques dans le paysage moissagais. Fonctionnaires, chefs d'entreprise, artisans, militaires… le brassage socio-culturel fonctionne parfaitement et permet à des jeunes en quête de repères de trouver dans cette salle une ligne de conduite respectable. Philippe Cahue
En savoir plusSi Mounir El Aidaoui, fondateur et entraîneur du Boxing moissagais reste à la présidence de cette association, le bureau fraîchement élu a changé en profondeur. «L'idée était d'ouvrir davantage notre association aux rugbymen, militaires et aux sportifs de tous horizons qui veulent apprendre à boxer, explique le président. Bien soutenus par la nouvelle municipalité, nous continuons l'école de boxe et travaillons sur un grand rendez-vous pour 2015 au Hall de Paris. Mais sur ce sujet, nous n'en sommes qu'au début.» Les amateurs de boxe thaïlandaise et de K-1 pourraient ainsi assister à un gala où des ceintures française et européenne seraient à prendre dans cet espace du centre-ville redécoré pour l'occasion en salle de boxe. Ce serait une bonne occasion pour le champion moissagais Tarik Zaïdy de viser la couronne européenne devant son public et sa famille. Avant ce projet, les entraînements pour les seniors reprennent dès ce soir à 19 heures au dojo municipal (20 chemin Calas). L'école de boxe redémarrera samedi 13 septembre 10 heures où les vingt places seront un peu justes pour accueillir tous les enfants. Pour les plus inquiets qui craignent un sport violent, sachez que chez les adultes comme chez les jeunes, aucun coup n'est porté. Les sportifs préparant des compétitions (avec des coups portés) s'entraînent à part. Pour plus de renseignements : 06 73 21 39 34 Composition du nouveau bureau : Mounir El Aidaoui, président ; Laurent Tamietti, vice-président ; Miloud Bouzidi, secrétaire ; Jean-Philippe Rambaux, vice-trésorier ; Fily Dialo, trésorier ; Pascal Denat, vice-trésorier. Philippe Cahue
En savoir plusCoup d’essai, coup de maître ! À 21 ans, Saïd Laraj vit cette année un rêve les yeux ouverts. Dès sa première saison de kickboxing, ce Moissagais au mental d’acier a remporté la coupe de France dans la catégorie des moins de 63,5 kg. La partie ne s’annonçait pas facile dans la salle des sports d’Albertville (Savoie) qui accueillait cette épreuve le week-end dernier. Trois combats étaient à gagner avant d’être titré et tout a bien failli s’arrêter dès le premier contact de la journée. «J’ai reçu un violent coup de tibia sur l’extérieur de mon genou, explique Saïd Laraj. Un nerf a été touché et j’ai du complètement changer ma garde et ma façon de combattre pour protéger cette blessure.» Désormais jambe droite en avant, le Moissagais a tout fait pour garder de la mobilité et de la légèreté pour éviter de prendre des coups et placer ses attaques. Une maturité qui a marqué son entraîneur : «J’ai complètement été bluffé par son aptitude à rester concentré et ne pas baisser les bras malgré le handicap, avoue Mounir El Aidaoui. Il a fait preuve de beaucoup de courage pour terminer ce premier combat.» Il vise une place en équipe de France Dans ces compétitions, les pansements et bandes compressives sont interdits. Pas question de soulager le genou. Mais ce point de règlement s’est avéré un atout pour le jeune athlète : les deux autres concurrents qu’il a dû affronter n’ont pas décelé cette faille et n’ont donc pas tapé dessus. «J’avais peur que l’intervention du médecin dès le premier combat ait attiré l’attention des staffs des autres compétiteurs. Il n’en a rien été et personne n’a vu que Saïd boxait en souffrant», explique l’entraîneur. En finale, il sort aux points le Montpelliérain Simon et s’adjuge dès sa première saison du titre national. «C’est magique d’aller au bout d’une telle compétition. J’ai maintenant envie de vite me remettre physiquement et de jouer ma carte à fond pour frapper à la porte de l’équipe de France», assure le compétiteur. Entre son travail en alternance dans l’entreprise Fiche à Saint-Nicolas de la Grave et le Bac professionnel qu’il prépare en génie climatique au CFA de Montauban, Saïd Laraj va prendre le temps de se soigner pour être fin prêt pour le 24 mai où il visera à Clichy (Hauts-de-Seine) une place dans la sélection nationale. En attendant, il exhibe avec fierté au Boxing moissagais, son jeune club fondé l’an dernier, diplôme et trophée remportés. Philippe Cahue
En savoir plusPerdue entre les sociétés d’expédition de fruits et des entrepôts commerciaux, la salle de karaté de la ville de Moissac accueille depuis cette année le Boxing moissagais. Pas de ring dans cette salle ni même de sacs en cuir suspendus au plafond. On est loin de l’atmosphère du club de boxe du film «Million Dollar Baby» de Clint Eastwood. Par contre, la sueur et le travail sont bien-là. Dans un silence où seul l’entraîneur Mourad Boussabata donne de la voix pour corriger des gestes, une vingtaine de boxeurs s’exercent devant un grand miroir. Pieds nus sur un sol en mousse, les boxeurs s’assouplissent pour lever la jambe à hauteur de tête. À la vue des équipements de protection sur les tibias, on comprend très vite qu’il s’agit de boxe thaïlandaise où les coups de coude et de genoux sont autorisés, tout comme les saisies pour bloquer l’adversaire. «Nous proposons du K-1 et du kick boxing. Notre principale préoccupation est la protection des boxeurs. Les coups ne sont pas portés ce qui permet d’accueillir tout le monde, quel que soit son niveau», explique Mounir Elaidaoui, président de l’asso. Une école de boxe thaï ouverte On retrouve donc d’anciens joueurs de rugby ou de pratiquants d’art martiaux lors des deux entraînements hebdomadaires programmés les mardis et jeudis entre 19 et 21h dans cette salle chemin de Calas. Sur les mêmes jours, des cours sont proposés aux enfants entre 18 et 19h. «Notre approche est très pédagogique. Avant même de parler de qualités physiques, on apprend le respect, les règles, insiste le président. Un jeune doit très vite faire la différence entre un combat cadré et arbitré dans une salle de sport et la cour de l’école. On ne veut pas qu’il y ait des confusions dans leur esprit.» Un discours qui a convaincu la municipalité en permettant à cette asso créée en au printemps 2013 de bénéficier depuis la rentrée de deux créneaux hebdo dans cette salle. Le kick-boxing est de plus en plus en vogue et compte dans le département des clubs Lavilledieu, Beaumont et Montauban. Moissac boxe à son tour. Philippe Cahue
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